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    Chambre de François 1er

     

     

    Chambre de François 1er

    Cette chambre contient la plus belle cheminée du château (refaite au XIXe siècle, ses trois niches « à baldaquins » furent ornées de statues); sur son manteau court la devise de Thomas Bohier, faisant écho à ses armes représentées sur la porte. Le mobilier se compose de trois crédences françaises du XVe siècle et d'un cabinet italien du XVIe siècle, incrusté de nacre et d'ivoire gravée à la plume, offert à François II et Marie Stuart pour leur mariage.

     

     

    Chambre de François 1er

     

    Chambre de François 1er

     

    Chambre de François 1er

     


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    La Chambre de Diane de Poitiers

    La Chambre de Diane de Poitiers

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    La Chambre de Diane de Poitiers

     

     

     

     

    La Chambre de Diane de Poitiers

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Lit à baldaquin du XVIIe siècle

     La Chambre de Diane de Poitiers

    La cheminée par Jean Goujon et le plafond portent les initiales de Henri II et de Catherine de Médicis entrelacées. Le « H » et le « C » forment par ailleurs malicieusement le « D » de Diane de Poitiers, la favorite de Roi. Le mobilier est composé d'un lit à baldaquin du XVIIe siècle   ainsi que de fauteuils en cuir de Cordoue. Sur la cheminée, on voit un portrait du XIXe représentant Catherine de Médicis, par Sauvage. Derrière le lit sur le mur , une Vierge à l'Enfant, par Murillo.

    Sous ce tableau une bibliothèque aux portes grillagées abrite les archives du domaine; un document exposé porte les signatures de Thomas Bohier et  Catherine.

    Sur les murs deux tapisseries des Flandres du XVIe siècle, Le Triomphe de la Force, montée sur un char tiré par deux lions, et environnée de scènes de l'Ancien Testament. Dans la bordure supérieure, la phrase latine se traduit par « Celui qui aime de tout son cœur les dons célestes, ne recule pas devant les actes que la piété lui dicte » ; l'autre pièce est Le Triomphe de la Charité, qui, sur un char, tient dans ses mains un cœur et montrant le Soleil, entouré d'épisodes bibliques ; la devise latine se traduit par : « Celui qui montre un cœur fort dans les périls, reçoit à sa mort, comme récompense, le Salut ».

     La Chambre de Diane de Poitiers

     


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  • La Chapelle

     

     

    La Chapelle

     

     

    La Chapelle

    On pénètre dans la chapelle à partir de la salle des Gardes, par une porte en chêne surmontée d'une statue de la Vierge.  Les vitraux détruits en 1944, ont été remplacés par des œuvres de Max Ingrand en 1954

    En 1890 le céramiste tourangeau Édouard Avisseau (1831-1911) réalisa pour le château un bas-relief La Vierge aux poissons

    Dominant la nef, une tribune royale donnant sur « la chambre des Cinq Reines », au premier étage, datant de 1521.

    Cette chapelle fut sauvegardée pendant la Révolution, Madame Dupin  ( propriétaire de l 'époque)  ayant eu l'idée d'en faire une réserve de bois de chauffage 

     

     

    La Chapelle

     

    La Chapelle

     


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     François Iermeurt d'une septicémie à Rambouillet, le 31 mars 1547. Moins de trois mois après, son fils Henri II offre Chenonceau à sa favorite Diane de Poitiers, duchesse de Valentinois et jeune veuve du vieux maréchal de Brézé. Cette donation est confirmée par lettres patentes à Saint-Germain-en-Laye, au mois de juin 1547. Diane de Poitiers fait aménager sur la rive droite du Cher, le jardin qui porte son nom. Au printemps 1551, cet espace de deux hectares est protégé des inondations par une levée de terre. Le terrain est entouré de fossés, renforcé avec des murs en pierres, eux-mêmes soutenus par des contreforts en maçonnerie.

     

     

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    Ce logis renaissance est constitué d'un corps de logis presque carré (22 m sur 23) de deux étages (plus un sous-sol) flanqué de tourelles d'angle, construit sur les puissantes assises de pierre de l'ancien moulin bordant naguère la rive droite.

    Celui-ci est prolongé d'un corps de bâtiment de deux étages et d'un comble qui s'appuie sur la façade Sud du logis, construit par Philibert Delorme en 1560 dans un style déjà presque classique, et reposant sur un pont de cinq arches enjambant le Cher. L'étage inférieur est notamment occupé par une galerie.

    On accède au rez-de-chaussée du corps de logis principal par un escalier suivi d'un petit pont.

     

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     Porte d'entrée

     

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     Le vestibule du rez-de-chaussée est couvert par un plafond en voûtes d'ogives dont les clefs, décalées les unes par rapport aux autres, forment une ligne brisée. Les corbeilles, réalisées en 1515, représente des feuillages, des roses, des têtes d'anges, des chimères, et des cornes d'abondance.

     

     

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    La tour des Marques est le seul vestige visible de l'ancien château médiéval de la famille des Marques, rasé par Thomas Bohier en 1515. Elle correspond au donjon de l'ancienne bâtisse, constituée d'une tour ronde, ainsi que d'une tourelle abritant la cage d'escalier. Bohier va réhabiliter la tour en lui donnant un aspect plus moderne, dans le goût Renaissance, grâce au percement de larges fenêtres à meneaux, d'une porte ouvragée, de lucarnes en pierre blanche, et l'ajout d'un clocheton, dont la cloche porte la date de 1513.

    Sur le côté, on peut encore apercevoir le puits, orné sur la margelle d'une chimère et d'un aigle bicéphale, emblème de la famille des Marques. Cette tour, qui a pendant un temps abrité la boutique de souvenirs, n'est désormais plus accessible au public.

     

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     Le document de transmission en 1535 est paraphé au nom du roi par Anne de Montmorency, duc, pair de France, maréchal, Grand maître et premier baron de France. Philibert Babou de la Bourdaisière, surintendant des finances, maire de la ville de Tours, prend possession pour le roi, du château de Chenonceau et en devient l'intendant. Du fait de sa situation précaire et dans l'incertitude du devenir de Chenonceau, Antoine Bohier n'a réalisé aucun entretien de son patrimoine et encore moins les réparations indispensables. François Ier se trouve en possession d'une propriété à l'abandon. Contre toute attente, le roi n'entreprend pas de rénovation, ni construction ou décoration de Chenonceau. Son empressement à se rendre acquéreur du château, n'est suivi du moindre effet. L'attention du souverain se porte sur Chambord, Fontainebleau ou Villers-Cotterêts et jusqu'à la fin de son règne, Chenonceau reste dans le même état. François Ier et la Cour, revenant d'Aigues-Mortes après la signature de la Trêve de Nice avec Charles Quint, séjournent à Chenonceau au mois d'août 1538. Une partie de chasse au printemps 1545, amène le monarque à Chenonceau, où le gibier abonde dans les forêts avoisinantes. Les déplacements comme le veut l'usage, sont effectués avec une longue suite de chariots transportant meubles, vaisselle, linges et tapisseries. Le château avait perdu beaucoup de son mobilier et bien loin, était la prospérité du temps de Thomas Bohier

     

     


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    Chenonceau

     

     

     

     

    Chenonceau

     

     

     

     

    Chenonceau

     

     

     

     

    Chenonceau

     

     

     

     

    Chenonceau

     


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    Le domaine où s'élève aujourd'hui le château que nous allons visiter appartenait à partir de 1234, à la famille Marques, originaire d'Auvergne - Cette famille possédait à cet endroit une forteresse entourée de douves, reliée à la rive du Cher par un pont levis et pourvue d'un moulin - Sous le règne de Charles VI , Jean de Marques abrita une garnison Anglaise dans sa forteresse à la suite de quoi le roi ordonna le démantèlement de l'appareil défensif, et laissant les terres à ses propriétaires- Les difficultés d'argent croissant, la famille décida de se défaire de ses terres qui furent vendues à Thomas Bohier, intendant des finances en Normandie. En 1512 il put aussi acheter la forteresse - Epris du style renaissance, Bohier décida de raser l'ancien château, sauf le donjon, pour faire bâtir une nouvelle demeure.......

     

     

     

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     Sur les vestiges du moulin on éleva une construction rectangulaire munie de tourelles d'angle se développant autour du vestibule à voutes d'ogive. Au rez de chaussée se trouvaient quatre pièces qu'un escalier en rampe droite mettait en communication avec quatre autres pièces au premier étage - Les travaux de construction que Catherine Bohier, femme de Thomas, avaient surveillés en l'absence de son mari furent menés à bien en 1521, lorsque le cardinal archevêque de Bourges, consacra la chapelle de ce château - En 1524 Thomas Bohier Mourut en Italie où il était allé, et sa femme devait décéder deux ans plus tard .

    Passé au mains de leur fils Antoine, ce château fut bientôt confisqué par François 1 er à titre de dédommagement pour certaines irrégularités dans les finances dont Thomas avait été jugé responsable - Qu'elle est ce Château ? ......

     

     

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