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    Campagne Angevine

     

     

     

    Campagne Angevine


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    Chateau de Brézé Chateau de Brézé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le château de Brézé, ancienne demeure des grands maîtres de cérémonies des rois de France, a la particularité de posséder un important réseau souterrain et les douves sèches les plus profondes d’Europe.

    Au XVe siècle, Gilles de Maillé-Brézé, Grand maître de la Vénerie du « Bon Roi René » (René d'Anjou), obtient de celui-ci l’autorisation de fortifier le domaine de Brézé. À partir de 1448-1450, les douves atteignent une profondeur de 10 à 12 mètres et l’on commence à creuser les premières salles souterraines autour des fossés. Le premier niveau de creusement est visible au pied du pilier maçonné qui soutient la passerelle piétonnière

    D’autres salles et galeries de défense sont visibles sur le pourtour des douves. Chaque niche de tir devait être servie par au moins un homme. La garnison du château, sous les ordres d’un « capitaine » devait atteindre pour le moins 50 hommes d’armes. C’est peut-être l’un d’eux qui grava son nom sur l’appui de l’une des meurtrières.

    Le château de Brézé possède aujourd’hui les douves sèches les plus profondes d’Europe à faire le tour complet d’un château. Contrairement à une idée très répandue, ces douves n’ont jamais contenu d’eau.

    Il y a plusieurs raisons à cela : Le château étant construit sur une hauteur, le cours d’eau qui passe au pied du village (la Dive) ne pouvait pas être détourné pour alimenter ces fossés. / Compte tenu de la taille des douves et de la porosité du tuffeau (plus exactement sa capacité à absorber l’eau), il aurait fallu un volume d’eau énorme pour non seulement remplir ces fossés mais également pour les garder pleins. / Enfin, une immersion complète aurait rendu toute vie impossible au cœur des souterrains, tout comme dans les parois périphériques des douves.

    C’est alors que les dépendances du château furent aménagées dans ces parois rocheuses, à l’abri de l’extérieur.

     

    Chateau de Brézé

     

    Chateau de Brézé Chateau de Brézé

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Chateau de Brézé

     

     

     

     

     


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  • Chateau de Brézé

     

    Chateau de Brézé

    La particularité du château de Brézé réside en son réseau troglodytique situé sous le château et dans les fossés, comportant aussi bien des pièces de la vie quotidienne (boulangerie, écurie, magnanerie) que militaire (pont-levis, chemin de ronde). Le château fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques depuis le 6 mars 1979

     

    Chateau de Brézé

     

    Chateau de Brézé

     

    Chateau de Brézé

     

    Chateau de Brézé

    A l'époque féodale, de majestueux colombiers ont été bâtis. Ils étaient l'apanage de la Noblesse et constituaient une vitrine du château auquel ils appartenaient. A une époque où la viande fraîche manquait et se conservait dans le sel, la chair fraîche et les oeufs étaient appréciés sur toutes les tables. Le pigeon constituait un complément à la viande de salaison et les oeufs étaient servis en omelette. Les jeunes pigeons servaient aussi le nourriture aux faucons que l'on dressait pour la chasse au vol.

    Chaque couple de pigeons y occupe "un boulin", c'est-à-dire une case qui peut même être double afin d'accueillir les jeunes en attente de leur période d'envol pendant que les parents s'occupent d'une seconde nichée.
    En prenant 100 couples de pigeons par colombier, générant au moins 4 petits par an, on obtient... 16 800 000 pigeons par an ! On a ainsi vite démontré l'utilité de cet oiseau pour la consommation et la constitution d'engrais riche pour le vignoble.

     

     

     


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  • Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

    Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

     

    Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

     

     

    Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

     

    Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

    Azay-le-Rideau (Aziacum en latin) possède une origine très ancienne remontant au moins à la période romaine comme l'atteste la découverte en 1837 de restes d'une villa gallo-romaine de l'autre côté de l'Indre, face au château actuel 

    Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

    Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

    Commune d'Indre et Loire, Azay le rideau

     

    Le bourg d'Azay-le-Rideau s'est formé au Moyen Âge autour d'un prieuré bénédictin de l'abbaye de Cormery et de la forteresse du seigneur Ridel d'Azay, chevalier de Philippe-Auguste, qui édifia une forteresse défensive pour protéger la route entre Tours et Chinon. Le chevalier Ridel d'Azay est mentionné pour la première fois comme seigneur du lieu dans une charte de 1119  - Le 4 juillet 1189, Henri II Plantagenêt, roi d'Angleterre, affronta une coalition de ses fils avec Philippe-Auguste, roi de France. Sa défaite se conclut par le traité d'Azay-le-Rideau qui établit son fils Richard seul héritier du trône d'Angleterre. Il reste peu de vestiges médiévaux à Azay, hormis l'église, car le bourg fut brûlé en 1418 lors de la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons : le dauphin Charles — le futur Charles VII, indissociable de l'épopée de Jeanne d'Arc — qui séjournait à Azay fut insulté par la garnison bourguignonne qui occupait la place forte. Le capitaine et ses 350 soldats furent exécutés, et le village incendié ; il garda jusqu'au XVIIe siècle le surnom d'Azay-le-Bruslé. 

     

     

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    L'habitation

     

     

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    Composée d’un logis bourgeois du XVième  siècle, d’un pigeonnier et de dépendances, la maison est transformée en « maternité » lors des naissances de ses ainés, deux frères et une sœur. La tradition veut que Rabelais soit aussi né dans cette maison (on évoque les dates de 1483 ou 1494). Ce lieu semble marquer l’écrivain au point de faire évoluer son célèbre géant Gargantua dans le même décor de verdure.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Rabelais se réfère à sa maison d'enfance notamment dans son second roman, Gargantua. Elle incarne le château de Grandgousier, le lieu de naissance du géant et le théâtre d'opérations de la guerre picrocholine. Ce conflit, faisant allusion aux rivalités entre François 1er et Charles Quint, voit l'affrontement entre Grandgousier, seigneur des lieux, et Picrochole, roi de Lerne.

     

     

    À partir du XVIIe siècle, la famille Rabelais n'habite plus la Devinière. Classé monument historique depuis 1929, le domaine est néanmoins divisé, quelque peu oublié, et se dégrade peu à peu. Alerté par des érudits rabelaisants, le département d'Indre-et-Loire achète la maison en 1948 et l'ouvre au public en 1951. En 1951 le musée littéraire consacré à l’œuvre et à la vie de François Rabelais est créé à la Devinière et est aujourd'hui propriété du conseil départemental d'Indre-et-Loire. Il présente une riche iconographie, des publications et ouvrages anciens et de nombreux portraits, gravures et statues de l’écrivain. Le site présente également des caves troglodytiques, un pigeonnier du XVIIe siècle et un jardin potager.

    En 2004 sont plantées sur le domaine « les vignes de Rabelais » (au cœur du vignoble du Chinonais), ce qui renoue avec les traditions viticoles du lieu. La production vendue aux visiteurs du musée porte le nom de « Clos de La Devinière ».

     

     

    Le domaine

     

     

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    Au coeur du Pays de Chinon, la Devinière

     

     

     

    Au coeur du Pays de Chinon, la Devinière

     

     

     

    Au coeur du Pays de Chinon, la Devinière

     

     

     

    Au coeur du Pays de Chinon, la Devinière Au coeur du Pays de Chinon,

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le père de François Rabelais, Antoine Rabelais, est avocat au siège royal de Chinon et sénéchal de Lerné. Ce notable est détenteur de plusieurs propriétés dont la « maison des champs » qu’est La Devinière, à Seuilly, où François a pu passer ses premières années d’enfance.

     

    Bienvenue dans la maison natale de François Rabelais, lieu emblématique au cœur du pays de Chinon.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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